Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
28 août 2017 1 28 /08 /août /2017 09:17
LA REMARQUABLE SYNTHESE DE LIDN : "Le notariat cristallise tout ce qui sclérose actuellement notre pays (corporatisme, conservatisme, rente de situation etc…). Il faut faire un symbole du déverrouillage de cette profession. Le Président Emmanuel Macron et son Gouvernement peuvent compter sur le soutien de l’association LIDN pour y parvenir."
Partager cet article
Repost0

commentaires

S
J'ai une place à Paris mes parents ont pleuré.
Répondre
A
Kaicequisepasse chezvous les continentaux, bréeef et chez nous on est patient pour faire des notoriétés acquisitives. Les nouvelles installations chez nous font le tour de l'île mais on s'organise a notre manière
Répondre
M
Coiffard chez la GDS, quelqu'un a une idée sur ce qu'ils ont pu échanger ?
Répondre
A
@extra furax : tu es ridicule ; ton achat c'est ton problème et pas celui de la réforme. Tu penses avoir acheté le passé alors que tu aurais dû acheter le futur...Si tu es plus fort que ton cédant tu as fait une bonne affaire, dans le cas contraire....<br /> Et pourtant je ne partage pas bcp d'opinions des DN de ce blog.
Répondre
E
Bienvenue aux nouveaux et La voilà la blague : la guerre et je vous le jure. Achat de parts à Paris à 1200000€ il faut pas trop me solliciter je serai redoutable et vivement les inspections ça sera sans pîtié. Bonne installation aux nouveaux
Répondre
D
Pour les inspections cela dépend du niveau du 1816 (LOL) /<br /> S'il n'est pas bon, il ne verra rien !<br /> S'il fait pareil, il trouvera cela corrrrrrect !<br /> Il focalisera comme beaucoup sûrement sur des fotes d'ortograf' de la BIBLE du logiciel (qui doit connaître par cœur).<br /> <br /> Sinon belle mentalité mon gars !<br /> Vu le contexte fallait pas acheter !<br /> <br /> On m'avait parlé de 2 notaires qui cherchaient à vendre sur PARIS et ... espérer partir avec leurs clientèles respectives d'institutionnels sous le bras chacun dans son coin ... baisant au passage leur successeur...
M
@Extra furax<br /> La mauvaise foi par excellence ! On ne peut pas avoir le beurre et l'argent beurre. En achetant une clientèle, vous achetez aussi la certitude d'avoir des revenus confortables dès le départ et ce, sans aucune prise de risque (c'est la raison pour laquelle certains appellent çà une rente).
D
Si vous avez le sentiment d'avoir payé trop cher, retournez vous contre votre vendeur.... apres... l'erreur sur la valeur...... malheureusement. ... <br /> Ensuite, j'espere qu'en tant qu'officier ministeriel vous n'êtes pas en train de dire, qu'habituellement, lors des inspections vous fermez les yeux sur certaines pratiques de vos confrères , qui, comme vous ont acheté trop cher leur étude. ..
N
bienvenue aux nouveaux
Répondre
A
Il se serait vanté d'avoir fait un super placement si la crise n'avait pas eu lieu......mais quand on joue il arrive que l'on perde...Dommage Enrico ! Poy Poy Poy
Répondre
B
La personne qui emprunte 35 millions d'euros ne peut pas être considérée comme celui qui fait un pret viager hypothecaire de 50 ke pour payer ses vacances, cette dernière a sans doute besoin d'être éclairée.<br /> La premuère. Ous dira, Me x, "j'ai l'habitude, ce n'est pas ma première affaire, il s'agit d'un montage trop complexe pour vous...", et il aura raison. Mais après faut assumer
Répondre
C
@Dugard<br /> A la lecture de la décision de Justice une partie des sommes prêtées ont été remises à l'emprunteur (traduit dans le sens journalistique de versement liquide) et le surplus conservé par l'organisme prêteur, lequel a procédé au placement des fonds.
D
Bref comme pour les collectivités du bon PRET TOXIQUE à la DEXIA <br /> Outre la partie placements financiers (risquée) c'est aussi la partie versement en LIQUIDE qui m'interrogeait cela se pratique alors encore en étude ce genre de truc ? (peut-être seulement dans les grosses études qui savent faire ce genre de truc ...)
C
Par définition le recours à de tels placements est pernicieux. J’ai assisté au cours de mon exercice professionnel à des tentatives de vente de tels produits à des clients ayant vendu des biens. Folie pure que de croire aux mirages d’un tel placement, mais la déraison est parfois plus forte que la raison.<br /> La personne procédait au placement de fonds en contrat d’assurance vie et il lui était proposé un prêt d’un montant égal aux fonds placés pour, lui disait on doubler son capital sans risque. Le mot risque est important dans la psychologie de l’être humain, où si prononcé, la force du gain exposé l’emportant sur la nécessité de comprendre que la somme empruntée est bien une somme empruntée non acquise au début de l’opération mais uniquement au terme de l’opération dont la durée n’en augmente que la fragilité. Bref, le miroir aux alouettes, dirait on communément.<br /> C’est l’angle de l’exposé de la vente du produit qui est intéressant, où le facteur capital emprunté reposait sur un postulat que le taux de couverture des intérêts liés au capital emprunté était assuré par le taux des produits financiers acquis grâce au capital emprunté. Le vecteur support du placement reposant sur des contrats d’assurances vie.<br /> Bref un échafaudage financier où la multiplicité des facteurs risques, si exposés réellement, n’en aurait jamais permis la vente.<br /> Or dans ce type d’opérations, très rares sont les professionnels qui s’aventurent dans des calculs actuaires, voire sollicite des professionnels du chiffre maitrisant le calcul actuaire, car c’est à ce stade que le facteur risque commence à poindre pour celui souhaitant s’inscrire dans ce type de produit. Il commence à mesurer et comprendre la mécanique du placement financier et multiplicité des risque de taux, de change, d’évolution des taux dans le temps et de change, et surtout, surtout, que le fameux capital emprunté sensé lui permette de doubler son capital peut se transformer en cercueil financier pour ce dernier. <br /> Entre entendre, comprendre, et assimiler il y a toujours une différence, le tout c’est de le comprendre.
B
Il semble que la justice ait tranché.<br /> Quand on ne veut pas rembourser on cherche tous les vices possibles au contrat...
Répondre
D
Encore "de la belle ouvrage" de nos chers 1816 en perspective :<br /> <br /> https://www.ladepeche.fr/article/2017/08/27/2634426-risque-perdre-maison-epilogue-judiciaire-enrico-macias.html<br /> <br /> Escroqueries à l'hypothèques :<br /> "Il leur est reproché d'avoir, surtout en 2007, escroqué une centaine de personnes en France en leur faisant hypothéquer leurs biens immobiliers contre un crédit versé en partie en liquide, en partie sous forme de placements financiers. Mais sans les avertir des risques très élevés de l'opération. "
Répondre