TREIZE OFFICES MACRON SONT SUPPRIMÉS PAR AUTANT D'ARRÊTÉS DU 9 OCTOBRE, PUBLIÉS AU JO DU 17 OCTOBRE
Il s'agit donc d'un phénomène significatif, révélateur, s'il en était encore besoin, des effets pervers du tirage au sort mis en place par le GDS (Urvoas) à la suite de la réforme Macron : les DN plus ou moins désireux de s'installer devaient "horodater" à l'instant t - pas avant ni après - et bien souvent sans réflexion ni préparation préalables.
De sorte que se retrouvent parmi les "heureux" lauréats du TAS de nombreux DN mal ou pas du tout préparés qui, au pied du mur, renoncent à prêter serment.
Dans le même temps, des candidats parfaitement prêts sont rejetés par le sort !
La situation est donc surréaliste, tout autant que le principe même et la mise en œuvre du TAS.
Alors, quelle solution ?
À la lumière de cette situation inacceptable, une seule formule semble possible et conforme aux valeurs républicaines : la LI pure et simple, éventuellement régulée par l'ADLC selon le processus de création d'offices prévu pour les zones oranges de la carte.
Gageons que cette nécessaire correction sera mise en place aussitôt la création des offices issus du TAS qui vient de s'achever et la suppression d'un bon nombre d'entre eux faute de prestation de serment de leurs titulaires fraîchement nommés.